Avant-propos
Destruction de Jérusalem en l'an 70 (David Roberts, 1850) |
Peu
de gens savent que le Temple de Jérusalem fut le théâtre d'une
série de phénomènes étranges, à partir de l'an 30,
principalement à l'occasion de chaque fête de Yom
Kippour.
Ces
phénomènes hors du commun, qui ont débuté une quarantaine
d'années avant la destruction du Temple en l'an 70 ap. J.-C, ont été
observés par de nombreux Juifs ayant vécu à cette époque-là.
Ensuite, tous ces signes ont été minutieusement consignés dans les
deux versions du Talmud (1) par les rabbins dès le troisième siècle
de notre ère.
L’historien
Juif, Flavius Josèphe (37 à 100 ap. J.-C.) a également rapporté
certains faits inhabituels corroborant les affirmations des rabbins
ou y ajoutant d'autres détails tout aussi étranges.
Mes
amis, si j'ai choisi d'écrire cet article, c'est parce que d'une
part, ces événements sont autant d'indices révélant que le
Seigneur Yéchoua aurait bien été crucifié en l'an 30.
Et d'autre part, parce que ces signes pourront peut-être aussi nous
aider à comprendre que Dieu ne fait jamais rien sans prévenir les
hommes.
En
effet, tous ces phénomènes, qui se sont déroulés pendant
40 ans
jusqu'à la destruction du Temple, auraient dû alarmer la génération
de l'époque sur l'imminence de la catastrophe de l'an 70 et lui
faire prendre conscience que quelque chose avait fondamentalement
changé sur le plan religieux depuis cette année 30, lorsque ces
prodiges ont débuté.
De
la même façon, les signes célestes auxquels nous assistons cette
année et l'année prochaine (la tétrade), ainsi que tous les autres
signes qui se déroulent sous nos yeux depuis plusieurs années,
devraient nous mettre en garde et nous avertir de l'imminence de
grands événements qui vont bouleverser le monde et nos propres
vies.
Quels
étaient ces signes étranges ?
Voici
ce que rapporte le Talmud de Babylone :
«
Nos
rabbins enseignaient : Au cours des quarante dernières années
avant la destruction du Temple le tirage au sort ['Pour le Seigneur']
n'est pas venu dans la main droite, ni le ruban de couleur rouge
n'est devenu blanc, et la lumière occidentale (de
la Ménorah)
n'a plus brillé et les portes du Hekel [du Temple] s'ouvraient
d'elles-mêmes, jusqu'à ce que Rabban Yohanan Ben Zakkai les
réprimanda, disant : Hekel, Hekel, pourquoi veux-tu nous
alarmer ? Je sais que tu seras détruit, car Zacharie fils d'Ido
avait déjà prophétisé à ton sujet (Zach. 11 : 1) : « dit
au Temple : 'Ouvrez vos portes, ô Liban, et que le feu dévore tes
cèdres' »
(version Soncino, extrait de Yoma 39b. Passage similaire dans le
Talmud de Jérusalem).
Ce
passage du Talmud nous parle de quatre
phénomènes inhabituels,
dont les deux premiers qui avaient lieu à l'occasion de chaque fête
des Expiations durant les
quarante années
(2) qui précédèrent l'an 70. Les deux autres signes concernaient
plus précisément le service quotidien du Temple.
1°
Le tirage au sort lors du Yom Kippour
La
fête des Expiations (Yom Kippour) était un des jours les plus
importants de l'année pour la communauté israélite. A cette
occasion, de nombreux Juifs venaient de tout le pays et de l'étranger
à Jérusalem pour participer à la cérémonie qui était pour la
circonstance grandiose et solennelle.
C'était,
en effet, lors de cette fête que les péchés du peuple étaient
pardonnés par le Seigneur grâce au rituel des sacrifices qui se
déroulait au Temple de Jérusalem (voir Lévitique, chapitre 16).
Cérémonie du Yom Kippour |
Lors
de ce rituel, le Grand prêtre qui, pour la seule fois de l'année,
pénétrait dans le saint des saints devait être dans un état de
grande pureté (il se préparait tout au long de l'année pour cela
et il se lavait et changeait de vêtements plusieurs fois au cours de
cette journée spéciale). On
lui apportait deux boucs identiques qu'il devait tirer au sort pour
désigner lequel était « pour
le Seigneur »
et lequel était « pour
Azazel »
(3), (« le bouc émissaire »).
Pour
ce faire, le Grand prêtre plongeait ses deux mains dans une boîte
pour en retirer les deux lots représentant les deux boucs (4). Soit
le lot « pour
le Seigneur »
et celui « pour
Azazel ».
Quand le lot « pour
le Seigneur »
(représenté à un certain moment par une pierre blanche) venait
dans la main droite, c'était un
bon présage,
mais si ce lot arrivait dans la main gauche, c'était un mauvais
signe.
Avant
cette année 30, cette loterie était aléatoire (la pierre blanche
tombait aussi bien dans la main droite que dans la gauche). Mais
durant les quarante années qui précédèrent la destruction du
Temple, la cérémonie ne s'est plus passée comme auparavant. Chaque
fois que le Grand prêtre effectuait le tirage au sort pour
départager les boucs, il sortait la pierre noire hors de la boîte
dans la main droite (et forcément la pierre blanche dans la main
gauche). Cette coïncidence est arrivée chaque année lors de la
fête, depuis l'an 30 jusqu'à la disparition du Temple en 70 !
Les
Juifs ont remarqué ce phénomène qu'ils ont interprété comme
étant de mauvais augure. En effet, c'était le fait de voir arriver
la pierre blanche dans la main droite du Grand prêtre qui était
considéré comme un bon signe et non l'inverse.
Dans
la tradition hébraïque, tout comme ailleurs, la main droite était
plus favorable que la main gauche. Voici ce que rapporte l'apôtre
Matthieu :
«31
Quand le Fils de l'homme viendra (…) 33 il placera les moutons à
sa droite et les chèvres à sa gauche. 34 Alors le roi dira à ceux
qui seront à sa droite : « Venez, vous qui êtes bénis
par mon Père, et recevez le Royaume qui a été préparé pour vous
depuis la création du monde. (…) 41 Ensuite, le roi dira à ceux
qui seront à sa gauche : « Eloignez-vous de moi, vous qui
êtes maudits par Dieu ! Allez dans le feu éternel qui a été
préparé pour le diable et ses anges ! »
(Matt. 25 : 31 à 41).
2°
Le ruban de couleur rouge ne devenait pas blanc
Ensuite,
lorsque le sort était tiré, on attachait un ruban de couleur rouge
aux cornes du bouc « pour
Azazel »,
et on attachait l'autre moitié du tissu à la poignée de la porte
du Temple. Au bout d'un certain temps ce morceau de tissu devenait
blanc, ou il restait parfois rouge, ce qui n'était pas un bon
présage.
Et
enfin, après avoir sacrifié le bouc « pour
le Seigneur »
sur l'autel des holocaustes pour le pardon des péchés, celui « pour
Azazel »
était envoyé dans le désert de Judée où il était jeté d'un
précipice, après que l'on ait confessé sur sa tête les péchés
des Israélites.
Ainsi,
lorsque le morceau de tissu attaché à la porte du Temple devenait
blanc, s'était un signe probant que le sacrifice d'expiation était
accepté par le Seigneur. Or, dès le Jour du Kippour de l'an 30 et
pendant quarante ans, le tissu attaché à la porte du Temple est
resté rouge et n'est jamais devenu blanc ; comme si le
sacrifice avait été rejeté par le Seigneur :
« Venez
donc, dit le Seigneur, nous allons nous expliquer. Si vos crimes ont
la teinte du sang, peuvent-ils devenir blancs comme neige ?
S'ils sont rouge vermillon, peuvent-ils prendre la blancheur de la
laine ? »
(Esaïe 1 : 18).
Ces
signes étaient d'autant plus funestes que des phénomènes
inverses
(et donc de bon présage) se sont passés lors de la prêtrise d'un
certain Simon
le Juste
qui fut Grand prêtre au 3e siècle avant notre ère :
« Nos
rabbins enseignaient : Pendant les quarante ans du ministère de
Simon le Juste, le lot ['Pour
le Seigneur'] est toujours venu dans la main droite. Puis après son
ministère, il est venu tantôt dans la main droite, tantôt dans la
main gauche. Et [pendant ce même temps] le tissus de couleur pourpre
devenait blanc. Mais après, il est devenu parfois blanc ou pas.
Pendant ces quarante ans également,
la flamme occidentale restait allumée, puis après, elle restait
allumée ou s'éteignait. »
(Talmud, version Soncino, extrait de Yoma 39a).
3°
Les portes du Temple s'ouvraient d'elles-mêmes
Le
soir, après le service quotidien du Temple, la grande porte de
bronze était soigneusement fermée par les lévites. Mais, pendant
les quarante années qui précédèrent la chute du Temple, on la
retrouvait grand ouverte chaque matin sans que personne ne soit
intervenu la nuit. Ce prodige était d'autant plus invraisemblable
que cette porte devait être fermée par plusieurs personnes car elle
était très lourde.
Voici
ce rapporte Flavius Josèphe dans son livre :
« 3.
[288]
(...) et l'on vit la porte du Temple intérieur, tournée vers
l'Orient, - bien qu'elle fût en airain et si massive que vingt
hommes ne la fermaient pas sans effort au crépuscule, qu'elle fût
fixée par des verrous munis de chaînes de fer et par des barres qui
s'enfonçaient très profondément dans le seuil formé d'une seule
pierre -, s'ouvrir d'elle-même à la sixième heure de la nuit. »
(Flavius Josèphe, Guerre
des Juifs,
Livre VI, chapitre V, extrait).
Si
on ne peut expliquer comment cette porte s'ouvrait d'elle-même
durant la nuit, nous pouvons cependant interpréter ce signe comme
étant l'ouverture symbolique de l'accès vers Dieu pour tous les
hommes et plus seulement aux lévites.
4°
La lumière principale de la Ménorah qui s'éteint
Le
chandelier à sept branches (la Ménorah) se trouvait dans le lieu
saint (5) sur le côté sud (Ex. 25 : 31-40 et 26 : 35). Outre
sa fonction évidente d'éclairage, il représentait symboliquement
les sept Esprits de Dieu et plus tard, les sept Églises (Apoc. 1 :
4, 20).
Au
cours du service quotidien dans le Sanctuaire, toutes les mèches du
chandelier étaient rallumées le soir avec la flamme de la branche
centrale. Cette mèche centrale appelée « la
flamme occidentale »
était la plus importante des sept, puisque c'est avec cette mèche
qu'on rallumait les autres flammes éteintes (Ex. 27 : 21). Elle
devait donc rester toujours allumée, même si parfois il arrivait
qu'elle s'éteigne par accident.
Mais
de nouveau, au cours des quarante années qui précédèrent la
disparition du Temple, la « flamme
occidentale »
s'éteignit d'elle-même durant la nuit, malgré le soin particulier
apporté par les lévites pour que cette flamme reste constamment
allumée (on y mettait plus d'huile et elle était mieux surveillée).
Si
on ne connaît pas la cause de ce phénomène mystérieux, on peut
néanmoins en deviner la raison : il était manifeste que la
présence de Dieu avait quitté le lieu saint
et que ce signe, comme tous les autres d'ailleurs, aurait dû alerter
le Grand prêtre et lui indiquer que quelque chose avait changé
depuis l'apparition de ces phénomènes dès l'an 30.
« ...
Alors je vis sept lampes d'or. Au milieu d'elles se tenait un être
semblable à un homme ; il portait une robe qui lui descendait
jusqu'aux pieds et une ceinture d'or autour de la poitrine. »
(Apoc. 1 : 12-13).
Autres
signes rapportés par Flavius Josèphe
L'historien
Juif, Flavius Josèphe nous rapporte également certains signes
étranges qui sont survenus quelques temps avant la prise de
Jérusalem et l'incendie du Temple le
9 du mois d'av de l'an 70 :
« 3.
[288]
(...) ces gens ne surent pas entendre les avertissements de Dieu
[31]. Ce fut d'abord quand apparut au-dessus de la ville un astre
semblable à une épée, une comète qui persista pendant une année.
Avant la révolte et la prise d'armes, le peuple s'était rassemblé
pour la fête des azymes, le 8e jour du mois de Xanthicos [32],
Quand, à la neuvième heure de la nuit, une lumière éclaira
l'autel et le Temple, assez brillante pour faire croire que c'était
le jour, et ce phénomène dura une demi-heure. Les ignorants y
virent un bon signe, mais les interprètes des choses saintes
jugèrent qu'il annonçait les événements survenus bientôt après.
(...) En outre, à la fête dite de la Pentecôte, les prêtres qui,
suivant leur coutume, étaient entrés la nuit dans le Temple
intérieur pour le service du culte, dirent qu'ils avaient perçu une
secousse et du bruit, et entendu ensuite ces mots comme proférés
par plusieurs voix : « Nous partons d'ici. [35]».
(Flavius Josèphe, Guerre
des Juifs,
Livre VI, chapitre V, extraits).
31)
Il est question ici de ces signes décrits dans Tacite (Hist.,
V, 13), qui ne dépend pas d’ailleurs de Josèphe.
32)
Le 25/04/70 (?).
35)
Tacite, (Hist.,
V, 13) : « ...
Une voix plus forte que la voix humaine annonça que les dieux en
sortaient ... ».
Le
Sanhédrin a changé de place
Un
autre événement rapporté par le Talmud s'est aussi déroulé à
partir de l'an 30. Il concernait le lieu où siégeait le Sanhédrin
(6).
Avant
cette année 30, le Sanhédrin tenait habituellement ses audiences et
ses délibérations dans un local attenant au Temple qu'on appelait
« la
Chambre des Pierres Taillées ».
Or, dès cette année-là
(en 30), le Sanhédrin a décidé de quitter ce lieu superbe pour
siéger dans un local moins prestigieux situé en dehors du Temple :
« Quarante
ans avant la destruction du Temple, le Sanhédrin quitta (le local de
la « Chambre des Pierres Taillées ») pour siéger dans
la salle du commerce (le « Hanuth »).
(Talmud de Babylone, version Soncino, extrait de Shabbat 15a).
« Quarante
ans avant que le Temple ne soit détruit, le Sanhédrin l'avait
abandonné [le Temple] pour tenir ses séances dans le « Hanuth »
(un
local public de négoce) »
(Talmud de Babylone, version Soncino, extrait de Abodah Zara 8b).
Pourquoi
un tel changement de lieu de réunion et quelle en était la raison ?
Cette
fois, c'est dans la Bible que nous allons découvrir un indice
inattendu, pour expliquer ce changement de lieu, ainsi que pour
l'explication du rideau du Temple qui se déchira.
«A
ce moment, le rideau suspendu dans le Temple se déchira depuis le
haut jusqu'en bas. La terre trembla, les rochers se fendirent,»
(Matt. 27 : 51).
L'évangéliste
Matthieu affirme qu'il y eut un
tremblement de terre au
moment de la mort de notre Seigneur Yéchoua. Il est donc tout à
fait possible que le Temple ait subi quelques dommages suite à ce
séisme et que le local où se réunissait le Sanhédrin soit devenu
de ce fait hors d'usage.
De
la même façon, le rideau du Temple aurait très bien pu se déchirer
sous l'effet de la secousse sismique qui aurait endommagé le linteau
par lequel était attaché le rideau.
Cet
autre événement (du rideau déchiré), qui fut également un signe
significatif, n'a pas été repris dans le Talmud en raison,
probablement, du lien de proximité trop évident avec la mort du
Messie, car certains chefs religieux avaient voulu «étouffer
l'affaire » à tout prix (Matt. 28 : 11-15).
Conclusion
Mes
amis, vous aurez certainement compris que le fait que ces phénomènes
hors du commun aient été consignés par écrit par les autorités
religieuses juives constitue une
preuve évidente de l'authenticité des faits rapportés.
En
effet, qu'elle aurait été l'intérêt pour le Judaïsme rabbinique
de l'époque de rapporter ces événements étranges qui auraient pu
indiquer que Yéchoua était bien le Messie annoncé par l’Écriture,
puisque la plupart des chefs religieux n'a pas reconnu sa divinité
ni son titre de Messie.
Pourtant,
tous ces signes auraient dû montrer aux prêtres et au peuple de
Jérusalem que quelque chose avait manifestement changé dès
cette année 30, notamment
dans le rituel du Yom Kippour. Car ils se sont bien rendu compte que
le sacrifice d'Expiation n'était plus favorable au Seigneur, puisque
tous ces signes, qu'ils ont reconnus comme étant des mauvais
présages, ont bien été observés puis consignés plus tard dans
les deux Talmuds.
Nous
qui croyons que le Messie annoncé par l’Écriture est bien
Yéchoua, nous savons que ce rite sacrificiel du Yom Kippour (7),
tout comme les autres sacrifices sanglants, n'ont plus de raison
d'être, puisque notre Seigneur y a mis fin par son
propre sacrifice.
« 12
Quand le Christ est entré une fois pour toutes dans le lieu très
saint il n'a pas offert du sang de boucs et de veaux ; il a
offert son propre sang et a obtenu pour nous un salut éternel. (...)
28 De même, le Christ aussi a été offert en sacrifice une seule
fois pour enlever le péché de beaucoup d'hommes. »
(Héb. 9 : 12, 28).
Ainsi,
s'il est avéré que Yéchoua a bien été crucifié en l'an 30, cela
a forcément dû se passer le
mercredi 5 avril,
puisque c'était le seul jour possible qui corresponde à la fois au
14e jour de nisan, jour du sacrifice de la Pâque, à la prophétie
des «3
jours et 3 nuits»
(Matt. 12 : 40) et à celle de Daniel 9 : 26. (Vous pouvez
lire ces différents sujets dans ce blog).
Notes
:
1)
Le
Talmud est un ensemble de livres traitant des traditions juives et du
judaïsme qui fut rédigé par les rabbins entre le IIIe siècle et
le Ve siècle ap. J.-C. Il y existe deux versions du Talmud, celle de
Babylone et celle de Jérusalem qui sont constituées de la même
Michna et d'une Guemara différente pour chaque version (la Guemara
est un commentaire de la Michna). Quoique le Talmud ne soit pas un
livre inspiré par Dieu, il contient cependant des précisions
historiques et des détails intéressants concernant les traditions
juives.
2)
Faut-il rappeler que, dans les Écritures, le
nombre 40 symbolise un
temps d'attente, de patience et de mise à l'épreuve : (Gen.
7 : 12 et 17 ; Gen. 8 : 6 ; Ex. 24 : 18 ;
Deut. 8 : 2 ; I Rois 19 : 8 ; Jonas 3 : 4
et Matt. 4 : 2).
3)
« Azazel est
probablement le nom d'un démon hantant les lieux désertiques »,
réf. : la Bible en français courant, 1983, page 137.
4)
A l'époque du premier Temple, ces lots étaient en bois où il y
était inscrit : « Pour
le Seigneur » et
« Pour Azazel ».
Ensuite, ils ont été façonnés en or, puis on a utilisé deux
cailloux : un blanc qui représentait celui « pour
le Seigneur » et un
noir « Pour Azazel ».
5)
A l'époque du roi Salomon, il y avait dix chandeliers qui étaient
disposés par groupes de cinq de chaque côté du lieu saint.
Ensuite, il ne resta qu'un seul chandelier (I Rois 7 : 49).
6)
Le Sanhédrin était à la fois une assemblée législative et le
tribunal suprême du peuple juif. Le Grand Sanhédrin siégeant à
Jérusalem était composé de 71 anciens, tous versés dans la Loi,
alors que le Petit Sanhédrin composé de 23 membres siégeait dans
les villes principales où il légiférait en matière de justice.
7)
Si le rite sacrificiel tel qu'il se faisait sous la Première
alliance ne doit plus être pratiqué, il n'en demeure pas moins que
la fête doit toujours être célébrée (voir l'article « Le
Jour des Expiations »
dans ce blog).
Salutations
et bonnes fêtes d'automne 2014
Jacquy
Mengal
amen nous attendons ton retour au Jésus merci Shalom .
RépondreSupprimerShalom à vous aussi !
SupprimerJacquy Mengal
Rien n'a changé, le monde est sourd et aveugle comme en l'an 30.pour ceux qui veulent voir et entendre! Lisez et ecoutez
RépondreSupprimerVous avez raison ! Bien à vous.
SupprimerJacquy Mengal