Présentation :

La Bible est-elle vraiment inspirée ? L'accomplissement de nombreuses prophéties et la découverte de nombreux vestiges archéologiques confirment son authenticité. La Bible révèle notre passé, notre présent et notre avenir; à nous de les découvrir !
Sauf mention contraire, les citations bibliques sont tirées de la Bible en français courant éditée par l'Alliance Biblique Universelle, 1983. Les commentaires anonymes et non signés ne seront plus publiés. Merci et bonne lecture. © Copyright 2009-2023 Tous droits réservés

dimanche 21 novembre 2021

Blog en pause ...

Cher(e)s lecteurs et lectrices,
 
Je suis au regret de vous annoncer que le blog doit être mis en pause un moment, en raison d'un accident grave survenu au sein de ma famille. Merci pour votre compréhension.

Jacquy

vendredi 22 octobre 2021

Les différents séismes du temps de la fin

 Introduction :

Si vous lisez les Ecritures, vous devez savoir que plusieurs tremblements de terre sont annoncés pour les derniers jours.

Ce genre de catastrophe, mentionné dans de nombreuses prophéties, fait d'ailleurs partie des signes annonciateurs de la fin et du retour du Messie Yéchoua sur terre.

« Un peuple combattra contre un autre peuple, et un royaume attaquera un autre royaume ; il y aura des famines et des tremblements de terre dans différentes régions. 8 Tous ces événements seront comme les premières douleurs de l'accouchement. » (Matt. 24 : 7-8).

Certes, de nombreux séismes ont déjà frappé la terre en divers lieux et depuis des siècles, mais l'Ecriture précise que certains d'entre eux sont et seront des repères et des étapes dans la réalisation du plan prophétique.

Quels ont été ces premiers séismes ?

Si la première trompette du septième sceau évoque la Première guerre mondiale avec ses champs de batailles entièrement dévastés comme à Verdun, le sixième sceau a forcément été ouvert avant ce terrible conflit (voir le livre « Le temps de la fin », page 75 et le documentaire vidéo « End of the Age » du pasteur Irvin Baxter (à 21 min 40 sec) pour une explication de la 1er trompette).

Ainsi, selon certains observateurs, le tremblement de terre qui a frappé Lisbonne le jour de la Toussaint 1755 serait bien celui décrit dans le sixième sceau.

Ce séisme imprévisible fut si meurtrier qu'il a durablement marqué les esprits à l'époque. Il fut même à l'origine de la sismologie moderne.

Notez que ce tremblement de terre est qualifié de « violent » ; ce qui se comprend car le nombre de morts fut estimé entre cinquante et septante mille personnes.

Vingt-cinq ans plus tard (le 19 mai 1780), une grande obscurité envahit la Nouvelle Angleterre et fut suivie d'une éclipse rouge-sang de la lune vers une heure du matin. Pour beaucoup de gens, témoins du phénomène, il s'agissait ni plus ni moins d'un des signes décrit dans le sixième sceau1.

« Puis je vis l'Agneau briser le sixième sceau. Il y eut alors un violent tremblement de terre ; le soleil devint noir comme une étoffe de deuil et la lune tout entière devint rouge comme du sang » (Apoc. 6 : 12).

Quel est alors le séisme qui inaugura l'ouverture du septième sceau ?

« Puis l'ange prit le brûle-parfum, le remplit du feu de l'autel et le jeta sur la terre. Il y eut aussitôt des coups de tonnerre, des bruits de voix, des éclairs et un tremblement de terre. » (Apoc. 8 : 5).

Ne serait-ce pas celui qui frappa San Francisco et sa région le 18 avril 1906 ?

Le verset dans Apoc. 8 : 5 ne décrit pas ce séisme comme étant exceptionnel. Le nombre de morts est en effet estimé à trois mille personnes tout au plus (ce qui fut évidemment trois mille de trop), mais l'incendie important qu'il provoqua pourrait expliquer le symbole du « feu de l'autel jeté sur la terre ».

Quels seront les prochains séismes ?

Comme vous le savez, de nombreux séismes ont eu lieu depuis celui-là (et d'autres suivront). Mais, bien qu'ils aient été parfois très meurtriers, ils ne constituent pas pour autant des repères significatifs dans le déroulement de la prophétie.

Cependant, parmi tous ces séismes, il y en a un qui nous indiquera sans conteste dans quels temps nous serons. (J'écris cette phrase au futur car ce tremblement de terre n'a pas encore eu lieu).

« Au même moment, il y eut un violent tremblement de terre ; la dixième partie de la ville s'écroula et sept mille personnes périrent dans ce tremblement de terre. Les autres gens furent terrifiés et rendirent gloire au Dieu du ciel. » (Apoc. 11 : 13).

Ce tremblement de terre violent et meurtrier frappera Jérusalem au moment de la résurrection des deux témoins. Il pourrait donc correspondre au séisme qui aura lieu lors du retentissement de la septième trompette annonçant le retour glorieux du Messie et la résurrection des élus. Cela est tout à fait possible puisque la septième trompette suit immédiatement la sixième et que c'est bien après cette sixième trompette que les deux témoins réssuscitent2. Le Texte nous dit qu'il n'y aura en effet plus de délai ! (Apoc. 10 : 6).

Et, si c'est bien le cas, alors le séisme décrit dans Zacharie 14 est le même que celui-ci, puisque c'est au moment où le Messie posera ses pieds sur le mont des Oliviers qu'un tremblement de terre fendra la colline en deux parties.

Ce séisme sera nettement identifiable, car quelque sept mille personnes y perdront la vie.

« En ce temps-là, il se tiendra sur le mont des Oliviers, près de Jérusalem, à l'est de la ville. Le mont des Oliviers se fendra en deux et une grande vallée apparaîtra, orientée d'est en ouest. Une moitié du mont s'éloignera vers le nord, et l'autre moitié vers le sud. 5 Vous vous enfuirez par cette vallée creusée entre les montagnes, car elle s'étendra jusqu'à Assal. Vous fuirez comme vos ancêtres l'ont fait à l'époque d'Ozias, roi de Juda, à cause du tremblement de terre. Alors le Seigneur mon Dieu arrivera avec les anges qui sont à son service. » (Zacharie 14 : 4-5).

Ce séisme, qui arriva au temps d'Ozias, fut consigné dans le livre d'Amos et il a été récemment confirmé par l'archéologie (voir le reportage dans la vidéo ci-dessous).

« Ce livre rapporte les paroles d'Amos, un des éleveurs de bétail du village de Técoa. Le Seigneur lui révéla son message par des visions, au sujet du royaume d'Israël, deux ans avant le tremblement de terre, à l'époque où régnaient Ozias en Juda et Jéroboam, fils de Joas, en Israël » (Amos 1).

Notez par ailleurs que les hommes rendront gloire au Dieu du ciel (ce qu'ils ne faisaient pas auparavant), et pour cause, car le Messie viendra pour prendre la défense du peuple juif qui reconnaîtra enfin son Messie !

« En ce temps-là, dit le Seigneur, j'interviendrai pour détruire toutes les nations qui viendront attaquer Jérusalem. 10 J'animerai les descendants de David et les habitants de Jérusalem d'un esprit de bonne volonté et de prière. Ils regarderont à moi, à cause de celui qu'ils ont transpercé. Ils pleureront sur lui comme on pleure à la mort d'un fils unique, ils se lamenteront amèrement comme lorsqu'on perd un fils premier-né. » (Zach. 12 : 9-10).

Un dernier et terrible tremblement de terre aura lieu quand la septième coupe sera versée dans l'air.

« Le temple de Dieu, dans le ciel, s'ouvrit alors, et le coffre de l'alliance y apparut. Il y eut des éclairs, des bruits de voix, des coups de tonnerre, un tremblement de terre et une forte grêle. » (Apoc. 11 : 19).

Il est très probable que ce séisme soit le même que celui décrit au chapitre 16 du même livre, car les deux passages parlent d'une forte grêle, et nous remarquons également que c'est à ce moment-là que le Temple céleste s'ouvre pour laisser apparaître le coffre de l'alliance.

« 18 Il y eut alors des éclairs, des bruits de voix, des coups de tonnerre et un violent tremblement de terre. Celui-ci fut même si violent qu'il n'y en a jamais eu de pareil depuis l'apparition de l'homme sur la terre ! (...) 21 Des grêlons d'un poids énorme tombèrent du ciel sur les hommes. Et les hommes insultèrent Dieu à cause du fléau de la grêle, car c'était un fléau d'une violence terrible. » (Apoc. 16 : 18, 21).

« Après cela, je vis s'ouvrir dans le ciel le temple, avec la tente de l'alliance de Dieu » (Apoc. 15 : 5).

Notes:

1) Il faut préciser que chaque sceau reste ouvert jusqu'à la fin. Donc aucun sceau ne ferme le précédent. Par exemple : si le 5e sceau fut ouvert avec le meurtre d'Etienne, il restera ouvert jusqu'à la persécution finale qui aura lieu durant les 42 mois de la seconde partie de la 70e semaine de Daniel. De la même façon, les signes célestes du 6e sceau sont toujours d'actualité, etc.

2) Gardons à l'esprit que les morts - dont feront partie les deux témoins – ressusciteront en premier lieu (I Thés. 4 : 15 à 18).

Octobre 2021

Jacquy Mengal

 

lundi 6 septembre 2021

Annonce de la Shmita

Je suppose que vous, les croyants en quête des racines de votre foi, allez être avertis, si ce n'est déjà fait, de l'arrivée de la septième année dite du relâche (Shmita en hébreu) en 2022.

Pour rappel, cette prescription biblique concerne avant tout la mise en jachère des terres agricoles en Israël, ainsi que la remise des dettes.

« 2 ... Quand vous serez entrés dans le pays que je vais vous donner, vous m'honorerez en laissant périodiquement le sol se reposer. 3 Pendant six ans vous pourrez ensemencer vous champs, tailler vos vignes et en récolter les produits, 4 mais la septième année me sera consacrée, ce sera une année de repos complet pour le sol ; 5 vous ne devrez même pas moissonner ce qui aura poussé naturellement depuis l'année précédente ou vendanger les grappes qui auront mûri dans les vignes non soignées, car ce sera une année de repos complet pour le sol. 6 Toutefois vous pourrez consommer ce qui aura poussé naturellement, vous, vos serviteurs et vos servantes, vos ouvriers et les étrangers installés chez vous. 7 Tous ces produits serviront également à nourrir votre bétail et même les bêtes sauvages de votre pays. » (Lév. 25 : 2-7).

« 1Tous les sept ans, vous accorderez une remise de dettes à vos débiteurs. 2 Voici comment cette règle doit être appliquée : Lorsque l'année de remise de dettes est proclamée en l'honneur du Seigneur, tous ceux qui ont prêté de l'argent à leur prochain doivent renoncer à être remboursés ; ils ne doivent pas contraindre un compatriote, leur prochain, à payer sa dette. » (Deut. 15 : 1-2).

Si cette prescription n'a jamais été entièrement respectée en Israël, exceptée dans les milieux orthodoxes, certains pasteurs et enseignants de la Bible ont remarqué que le non respect de cette ordonnance divine très ancienne avait des conséquences inattendues sur la marche du monde, autant d'un point de vue économique que financier.

Quand débutera cette année de relâche ?

En Israël, le Rabbinat fait l'annonce de la Shmita lors de fête de Rosh Hashana, qui correspond à la fête biblique de l'Acclamation (ou des Trompettes). Mais, comme l'année juive débute en automne avec cette fête de Rosh Hashana, l'année de relâche commence aussi dès ce moment-là.

Cependant, l'Ecriture nous enseigne que l'année débute réellement au printemps, et que c'est l'annonce de cette année de relâche qui devait être faite au moment des fêtes automnales de l'année précédente (Lév. 25 : 8-10).

C'est du reste ce que le Seigneur Yéchoua avait fait lors de son annonce le concernant dans la synagogue de Nazareth :

« L’Esprit du Seigneur est sur moi, il m'a choisi pour apporter le Bonne Nouvelle aux pauvres. Il m'a envoyé pour proclamer la délivrance aux prisonniers et le don de la vue aux aveugles, pour libérer les opprimés, pour annoncer l'année où le Seigneur manifestera sa faveur » (Luc 4 : 18-19).

Donc, si nous annonçons l'année de relâche maintenant à l'occasion des fêtes automnales de cette année 2021, cette année Shmita débutera au printemps 2022 et durera une année entière, soit jusqu'au printemps 2023.

Ainsi, un nouveau cycle de sept ans commencera dès le printemps de l'année 2023.

Coïncidence entre ce cycle de sept ans et la « dernière semaine » du livre de Daniel

Ce cycle de sept années nous fait indubitablement penser à cette fameuse prophétie du livre de Daniel où il est dit que septante cycles de sept ans (490 ans) étaient nécessaires pour voir arriver le Messie qui établira une « justice éternelle » sur terre.

« 24 Une période de soixante-dix fois sept ans a été fixée pour ton peuple et pour la ville où tu demeures ; c'est nécessaire pour que la désobéissance prenne fin, que les fautes cessent et que les péchés soient pardonnés, pour que la justice éternelle se manifeste, que la vision et la prophétie s'accomplissent et que le temple de Dieu soit consacré de nouveau. 25 Voici donc ce que tu dois savoir et comprendre : depuis l'instant où a été prononcé le message concernant le retour d'exil et la reconstruction de Jérusalem, jusqu'à l'apparition du chef consacré, il y a sept périodes de sept ans. Ensuite, pendant soixante-deux périodes de sept ans, la ville et ses fortifications seront reconstruites, mais les temps seront difficiles. 26 A la fin de ces soixante-deux périodes, un homme consacré sera tué sans que personne le défende. Puis un chef viendra avec son armée et détruira la ville et le sanctuaire. Toutefois ce chef finira sous le déferlement de la colère divine. Mais jusqu'à sa mort il mènera une guerre dévastatrice, comme cela a été décidé. 27 Pendant la dernière période de sept ans, il imposera de dures obligations à un grand nombre de gens. Au bout de trois ans et demi, il fera même cesser les sacrifices et les offrandes. Ce dévastateur accomplira ses œuvres abominables avec rapidité, jusqu'à ce que la fin qui a été décidée s'abatte sur lui » (Daniel 9 : 24-27).

Si quelques-uns croient erronément que cette prophétie s'est entièrement réalisée lors de la première venue du Messie Yéchoua, la plupart des croyants pensent, et ils ont bien raison, que cette septantième et dernière semaine d'années (de 7 ans) doit encore avoir lieu.

La question est donc de savoir si cette dernière septaine d'années coïncidera avec le nouveau cycle de sept ans qui débutera en 2023 ? Je le pense, personnellement, et je ne suis certes pas le seul.

Il est aussi tout à fait possible que le Jubilé qui tombe tous les cinquante ans, après la septième Shmita (7 X 7 ans + 1), ait lieu l'année après la Shmita de 2029-2030 ! Il s'agirait alors du quarantième jubilé depuis l'an 30, année de la résurrection du Seigneur Yéchoua.

Mais n'allons pas trop vite, et soyons d'abord attentifs aux évènements qui vont survenir dans le monde dans les mois et les prochaines années à venir. Puis, préparons-nous tous et toutes afin d'être digne d'entrer dans ce nouveau monde où la paix et la justice ne seront plus de vaines paroles.

Bonne fête de l'Acclamation

Septembre 2021

Jacquy Mengal

samedi 28 août 2021

Signification des fêtes bibliques

A la veille du second cycle des fêtes bibliques qui débutera mardi 7 septembre 2021 avec la fête des Trompettes, appelée aussi Jour de l'Acclamation, il n'est peut-être pas inutile de rappeler la signification de ces solennités et leur symbolisme dans la chronologie du plan divin.

J'ai écrit « second cycle des fêtes », parce qu'il y a deux nouvelles lunes qui déterminent ces deux groupes de fêtes ; soit la nouvelle lune du premier mois de l'année biblique pour les fêtes du printemps et celle du septième mois pour les fêtes automnales.

Cependant, on peut aussi diviser ce calendrier annuel en trois parties : les fêtes du printemps, la Pentecôte et les fêtes de l'automne. C'était en effet l'occasion pour les croyants de se réunir, trois fois par an, lors de ces rassemblements solennels et festifs (Ex. 23 : 14-17 ; Deut. 16 : 16-17).

Résumé en tableau :


Premier groupe (nouvelle lune du 1er mois)

Dates

Signification

1

Pâque (Pessah)

Le 14e jour du 1er mois (mars/avril)

Sacrifice du Messie pour nos péchés

2

Pains Azymes (Hag Hamatzot)

Du 15e au 21e jour

Rejet du péché


Balancement de la gerbe (Yom Hanef)

Le lendemain du shabbat tombant lors des Pains Azymes

Résurrection du Messie qui s'assied à la droite du Père

3

Pentecôte ou Fêtes des semaines (Shavouot)

50 jours après le Balancement de la gerbe

Moisson des élus ayant reçu l'Esprit saint (temps de grâce)

Second groupe (nouvelle lune du 7e mois)



4

Fête des Trompettes ou Jour de l'Acclamation (Yom Teruah)

Le 1er jour du 7e mois (septembre/

octobre)

Seconde venue du Messie et enlèvement des élus (résurrection)

5

Jour des Expiations (Yom Kippour)

Le 10e jour

Ecartement de Satan et intronisation du Messie

6

Fête des Tabernacles ou des Tentes (Soukkot)

Du 15e au 21e jour

Règne messianique de mille ans sur terre

7

Dernier Grand Jour (Chemini Atseret)

Le 22e jour du 7e mois

Seconde résurrection et jugement final

N.B. Des articles détaillés pour chaque fête sont disponibles sur ce blog.

Août 2021

Jacquy Mengal

lundi 19 juillet 2021

Désastre en Wallonie et en Allemagne !

Dix jours seulement après avoir posté mon dernier article concernant le changement climatique et la météo capricieuse, voici que des pluies d'une intensité jamais égalée, excepté peut-être lors du Déluge, ont littéralement noyé une partie de la Wallonie, le pays où je vis, et l'ouest de l'Allemagne.

A l'heure où j'écris ces lignes, on dénombre déjà 31 morts et une cinquantaine de disparus en Wallonie, dont un décès dans mon village, et quelque 169 morts en Allemagne. Il vous suffit de voir les nombreuses vidéos et reportages TV pour se rendre compte de l'ampleur de la catastrophe qui a touché des milliers de gens vivant dans des zones dites "inondables" ou dans des villes traversées pas des cours d'eau.

C'est ainsi que de simples ruisseaux sont devenus en moins de 24 heures de véritables torrents emportant tout sur leur passage ! Tous ces cours d'eau gonflés au maximum se sont ensuite jetés dans les fleuves, dont la Meuse en Belgique, charriant d'innombrables déchets de toutes sortes. Certains quartiers proches du fleuve à Liège ont même failli être évacués.

Par chance, nous habitons sur les hauteurs de mon village et nous n'avons pas subi de dégâts, mais, cette nuit du 14 au 15 juillet, nous avons eu beaucoup de difficultés à trouver le sommeil, tant les averses étaient intenses et de longue durée. Je savais que nous allions découvrir l'ampleur du désastre à notre réveil; ce qui fut évidemment confirmé.

Voici un drame qui touche des milliers de gens. Certains ont tout perdu, absolument tout ! Des habitations ont été littéralement emportées par les eaux en crues, des gens ont vu disparaître leurs voisins dans le courant sans pouvoir leur venir en aide, et d'autres ont été noyés dans leur propre habitation. Des milliers de voitures ont été emportées comme s'il s'agissait de vulgaires jouets et des monceaux de détritus jonchent à présent les rues.

Un drame inimaginable, du jamais vu ! Mais, je dois vous avouer que je suis fier d'être Belge lorsque j'ai vu l'élan de solidarité, l'entraide et le travail bénévole de centaines de personnes qui sont parfois venus de loin pour aider autrui. Cependant, on a malheureusement vu aussi des pilleurs à l'œuvre et des badauds voyeuristes, comme partout lorsque survient une catastrophe.

Mes amis, il nous faut prier pour les justes, pour les gens biens et honnêtes, les innocents et, bien sûr, les frères et sœurs dans le Seigneur. Toutes ces catastrophes annoncent l'arrivée du Messie.




Jacquy Mengal

Juillet 2021

dimanche 4 juillet 2021

Météo capricieuse & changement climatique

 Ce que la Bible avait annoncé

Parler de « la pluie et du bon temps » signifie habituellement discuter de tout et de rien ; mais depuis plusieurs années, le sujet est devenu préoccupant, voire même grave tant il y a de catastrophes résultant du changement climatique et des aléas de la météo.

Personne n'est épargné ! Que ce soit en Californie, en Australie ou dans les pays méditerranéens, avec des incendies favorisés par des périodes de sécheresses trop longues ; ou des inondations dans d'autres régions du monde provoquées par des pluies torrentielles ; sans parler de la montée inquiétante du niveau des océans en raison de la fonte des glaciers aux pôles, etc.

Il nous suffit de regarder les vidéos Sott Media, que je poste notamment chaque mois dans la rubrique « vidéos », pour se rendre compte des nombreux dommages causés par ces phénomènes météorologiques extrêmes survenant aux quatre coins de la terre. Et contrairement à ce que prétendent les insouciants et autres contradicteurs, ces perturbations climatiques sont bel et bien nouvelles et elles s'accentuent chaque année davantage. Les statistiques le prouvent, même si l'enregistrement des données s'effectue depuis seulement quelque 150 ans.

Je ne prétends certainement pas connaître les causes exactes de ce bouleversement climatique, qui reste d'ailleurs un sujet controversé parmi les scientifiques, mais il est certain que les Ecritures en parlent de façon plus ou moins directe en évoquant des effets concrets observables aujourd'hui.

Ainsi, la formation des tornades de plus en plus nombreuses et dévastatrices, ainsi que la disparition de certaines îles sous les flots en raison de la montée du niveau des océans sont des conséquences concrètes du réchauffement climatique global :

« Le ciel disparut comme un livre en parchemin que l'on roule ; toutes les montagnes et les îles furent arrachées de leur place » (Apoc. 6 : 14)

(« Les montagnes arrachées de leur place » fait allusion aux tremblements de terre, aux phénomènes volcaniques et aux affaissements de terrains, alors que pour les îles, il s'agit bien sûr de leur engloutissement sous les flots).

De la même façon, les vagues de chaleur intense et/ou les périodes de pluies abondantes accompagnées de brouillards, de brumes et de nuages ténébreux persistants sont aussi décrites comme étant des signes de la fin :

« Ce sera un jour de fureur, un jour de détresse et d'angoisse, de ruine et de désolation. Ce sera un jour d'obscurité profonde, envahi de nuages et de brouillard. » (Soph. 1 : 15/Joël 2 : 2)

« Il y aura des signes dans le soleil, dans la lune et dans les étoiles. Sur la terre, les nations seront dans l'angoisse, rendues inquiètes par le bruit violent de la mer et des vagues. 26 Des hommes mourront de frayeur en pensant à ce qui devra survenir sur toute la terre, car les puissances des cieux seront ébranlées. 27 Alors on verra le Fils de l'homme arriver sur un nuage, avec beaucoup de puissance et de gloire. 28 Quand ces événements commenceront à se produire, redressez-vous et relevez la tête, car votre délivrance sera proche. » (Luc 21 : 25-28)

« pour briser votre orgueilleuse assurance, je rendrai le ciel au-dessus de vous dur comme du fer, et vos terres, privées de pluie, deviendront dures comme du bronze. » (Lév. 26 : 19)

Et, même si on refuse de le croire ou qu'on s'en moque, c'est toujours bien le Créateur de l'univers qui est le maître du climat et de la météo !

« j'enverrai en temps voulu les pluies dont vous avez besoin, afin que la terre produise des récoltes et les arbres des fruits. » (Lév. 26 : 4)

« J'ai frappé de maladie vos céréales, les faisant sécher ou pourrir sur pied. Les sauterelles ont dévoré tous vos jardins et vos vignes ; ainsi que vos figuiers et vos oliviers, mais vous n'êtes pas revenus à moi, dit le Seigneur. » (Amos 4 : 9)

« 2 (...) Tu as souillé le pays par tes prostitutions et par ton inconduite. 3 Alors je t'ai refusé la pluie, il n'y a pas eu d'averse au printemps. Mais tu t'obstines à te prostituer, tu refuses de reconnaître tes torts. » (Jér. 3 : 2-3)

Je suis bien conscient que certains d'entre vous qui me lisez pouvez avoir subi des dommages causés par ces catastrophes météorologiques et je souhaite de tout cœur que le Seigneur vous vienne en aide et nous protège tous de ces fléaux, mais à la lecture de certains passages des Ecritures, il ne faut pas s'attendre à une diminution de ces phénomènes dévastateurs dans l'immédiat, puisque les hommes refusent toujours de se détourner de leurs péchés et de leurs mauvais comportements.

Les décisions prises par les gouvernements de nombreux pays vont souvent à l'encontre de la moralité et de l'éthique telle que la Bible l'enseigne. Ce sont les puissants lobbies, les multinationales, les banques et les grandes industries qui dirigent réellement le monde. La société moderne dans laquelle nous vivons a rejeté le Créateur et ses lois depuis longtemps déjà.

Qui enseigne encore le respect des dix commandements comme base morale de la vie en société ? Quelle religion enseigne la Vérité concernant le but réel de la vie, la résurrection, l'origine de l'homme et de l'univers, etc ?

Cette obstination du monde à vouloir suivre ses propres voies en rejetant les lois du Créateur de l'univers finira par provoquer sa colère et l'arrivée d'autres fléaux dévastateurs. Ces catastrophes météorologiques que nous subissons sont des avertissements, mais peu de gens y prêtent vraiment attention, puisque la majorité des hommes ne croient même plus en l'existence du Créateur.

« Le jour où le Seigneur pansera les plaies de son peuple, quand il guérira ses blessures, la lune luira comme un soleil, et le soleil rayonnera sept fois plus que d'habitude ». (Esaïe 30 : 26)

« Des grêlons d'un poids énorme tombèrent du ciel sur les hommes. Et les hommes insultèrent Dieu à cause du fléau de la grêle, car c'était un fléau d'une violence terrible. » (Apoc. 16 : 21)

Je pense néanmoins que ce changement climatique finira par se stabiliser, lorsque l'humanité entrera, de gré ou de force, dans cette aire du Millénium qui ne devrait plus tarder. Notez cependant que le Seigneur aura encore recourt à la météo pour avertir et sanctionner les pays qui refuseront d'obéir à ses lois :

« Si l'un des peuples de la terre ne se rend pas à Jérusalem, pour adorer le Seigneur, le roi de l'univers, la pluie ne tombera pas sur son pays. » (Zach. 14 : 17).

Juillet 2021

Jacquy Mengal

vendredi 28 mai 2021

L'archéologie biblique est en deuil !


L’intrépide archéologue de l’époque biblique Eilat Mazar décède à 64 ans

Chercheuse à l’Université hébraïque, elle a excavé le “palais du roi David” et contribué considérablement à la connaissance archéologique de l’histoire d’Israël et de Jérusalem



Vous pouvez lire l'article sur le journal "The Times of Israel"


J'adresse mes plus sincères condoléances à toute la famille de Madame Mazar et à ses proches.

Jacquy Mengal

vendredi 16 avril 2021

Où était situé le Temple de Jérusalem ?

Voici un sujet qui a déjà fait couler beaucoup d'encre depuis de nombreuses années, sans que l'on soit encore parvenu à résoudre cette énigme archéologique. Bien sûr, il suffirait de creuser quelques tranchées de fouilles pour pouvoir enfin obtenir une réponse satisfaisante. Mais, l'autorité islamique (Waqf) qui gère l'esplanade des mosquées semble encore réticente à l'idée de permettre toute investigation archéologique à cet endroit, alors que des travaux d'excavation considérables avaient été réalisés en 1999 au sud-est de l'esplanade sous le contrôle de la même autorité !

Chers lecteurs, je ne vais pas retracer ici l'historique des temples bâtis par Salomon et Zorobabel ni argumenter sur la nécessité de la reconstruction d'un troisième temple à notre époque pour que s'accomplisse la prophétie biblique. Nous avions déjà abordé ces sujets il y a quelques années dans « Le Temple de Dieu à Jérusalem » et dans « Controverse sur l'emplacement du Temple de Jérusalem ».

Bien qu'il existe plusieurs hypothèses quant à l'emplacement précis des deux temples qui se sont succédé sur le mont Moria, aucune n'est encore parvenue à faire l'unanimité parmi les chercheurs. Les partisans de chacune des quatre théories principales défendant évidemment leur point de vue avec arguments et conviction, mais il y en a forcément une seule qui est vraie !

Les hypothèses

1. La théorie la plus populaire est celle du site où se dresse aujourd'hui la mosquée du Dôme du Rocher. C'est l'idée qui était soutenue par Leen Ritmeyer et Dan Bahat.

2. La seconde hypothèse est celle proposée par l'architecte Tuvia Sagiv, qui situe le Temple entre la mosquée du Dôme du Rocher et la mosquée Al-Aqsa.

3. Il y ensuite l'emplacement juste au nord de la mosquée du Dôme du Rocher, là où se trouve un petit dôme dit des « Tablettes » ou « des Esprits ». Ce site avait été suggéré par le physicien Asher Kaufman dans les années 80.

4. Un quatrième site, soutenu par certains biblistes comme B. Cornuke et d'autres évangéliques, est supposé se trouver sur les hauteurs de l'ancienne Cité de David. Cette théorie très controversée fut émise par Ernest L. Martin en 1999, (voir « Controverse sur l'emplacement du Temple de Jérusalem »).

Tout récemment, un nouveau chercheur nommé Christian Widener a repris la théorie de Asher Kaufman, dans un livre intitulé « The Temple Revealed », où il situe le Sanctuaire au nord du Dôme du Rocher, avec l'emplacement du Saint des Saints à l'endroit même où se trouve le Dôme des Tablettes.

Quoique cet ingénieur américain ne prétende pas être archéologue, il a néanmoins l'avantage, de par sa formation et son métier, d'être très rigoureux et logique, ce qui est appréciable dans ce genre de recherche.

Où se trouvait alors le Temple ?

Si, je n'ai, moi-même, pas du tout la prétention de savoir où se trouvait exactement le Sanctuaire, je pense que le site (n°1) sous le Dôme du Rocher doit être exclu1, car le Texte biblique nous dit que le lieu d'Aravna acheté par le roi David était une aire de battage des céréales. Or, ce genre d'endroit devait impérativement être plat et horizontal, ce qui n'est visiblement pas le cas de l'affleurement rocheux qui se trouve sous la Coupole d'or.

« 18 (...) - Monte sur l'aire où Aravna bat son blé, et construis là un autel pour le Seigneur. (...) 20 D'en haut, Aravna vit le roi et ses ministres qui venaient vers lui... » (II Sam. 24 : 18, 20).

« Salomon commença à bâtir la maison du Seigneur à Jérusalem, sur le mont Moria ; là, [le Seigneur] était apparu à son père David, qui avait fixé son choix sur l'emplacement lui appartenant dans l'aire d'Ornan, le Jébuséen. »2 (II Chr. 3 : 1, v. Zadoc Kahn).

Je ne vais pas non plus expliquer pour quelles raisons la théorie (n°4) qui situe le Sanctuaire dans la Cité de David est tout à fait improbable. Je vous renvoie à l'article « Controverse sur l'emplacement du Temple de Jérusalem », si cela vous intéresse. J'ajouterais, cependant, que l'espace nécessaire pour situer le périmètre sacré de cinq cents coudées3 de côté est difficile à trouver sur les hauteurs de l'ancienne Cité de David.

« 15 Lorsque l'homme eut terminé de mesurer les bâtiments intérieurs du temple, il me fit sortir par le porche est. Il se mit alors à mesurer l'espace qui entourait le temple. 16 Avec le roseau à mesurer, il trouva que le côté est avait cinq cents mesures de longueur. 17 Il renouvela l'opération pour les côtés nord, sud et ouest et trouva partout la même longueur, soit cinq cents mesures. 20 C'est ainsi qu'il mesura le mur qui entourait le temple sur ses quatre côtés. Le mur formait un carré de cinq cents mesures de côté et il servait à séparer l'espace réservé à Dieu de l'espace profane » (Ez. 42 : 15-20).

Il nous reste donc deux sites possibles à envisager : d'abord celui (n°2) au sud de la mosquée du Dôme du Rocher revendiqué par Tuvia Sagiv.

Cet emplacement a des arguments historiques intéressants et une position géographique qui ne l'est pas moins. En effet, si ce lieu est bien l'endroit où se dressait jadis le Sanctuaire, il serait tout à fait possible de le rebâtir à la même place et son accès serait grandement facilité par la rampe des Maghrébins accessible depuis l'entrée de l'esplanade du Kotel.

Il y a enfin le site (n°3) défendu par Asher Kaufman et Christian Widener, au nord de la mosquée du Dôme du Rocher. Ce site a ses détracteurs, pourtant, ses partisans ont d'excellents arguments à faire valoir.

D'abord, l'affleurement rocheux visible sous le Dôme des Tablettes est une partie du sol en place de l'époque et il correspond tout à fait au vestige d'une aire de battage (plat et horizontal).

Ensuite, il y a un indice tellement évident que l'on pourrait se demander pourquoi il ne suscite pas plus d'intérêt. C'est la Porte de Shushan, appelée aujourd'hui, la Porte dorée !

Cette porte murée par Soliman le Magnifique au milieu du XVIe siècle était parfaitement alignée avec le mont des Oliviers et l'entrée du Temple ; ce que le Talmud et la Bible précisent.

« Il faut éviter de montrer un manquement à la porte Est (du mont du Temple), car elle est en ligne directe avec le Saint des Saints. » (Mishnah, Berakhot 9 : 5).

« L'homme me conduisit à la porte orientale. Je vis alors la glorieuse présence du Dieu d'Israël venir de l'est. Elle était accompagnée d'un bruit pareil au grondement de la mer et elle illuminait la terre de sa clarté. » (Ez. 43 : 1-2).

« Puis, il me ramena du côté de la porte extérieure du Sanctuaire, qui est tournée vers l'Est ; mais elle était fermée. 2 Et l'Eternel me dit : ''Cette porte restera fermée, on ne l'ouvrira point, et personne n'entrera par elle, car l'Eternel Dieu d'Israël est entré par elle : elle restera donc fermée''.» (Ez. 44 : 1-2, v. Zadoc Kahn).

Notez que cette porte est très ancienne : elle figure sur la mosaïque de Madaba datée du VIe siècle de notre ère, et les vestiges d'une porte encore plus ancienne (époque du premier temple) furent repérés sous la porte actuelle par James Fleming en 1969.

D'autre part, cet endroit se trouvait non loin de l'ancienne forteresse (disparue) Antonia4, d'où les Romains pouvaient avoir un œil sur l'activité du service lévitique. Enfin, l'espace sacré de cinq cents coudées de côté se retrouve aisément à cet endroit de l'esplanade.

Hypothèses n°2 de Tuvia Sagiv et n°3 de Asher Kaufman





Conclusion

S'il est difficile de savoir exactement où se trouvait le Temple, en l'absence de fouilles, même partielles, la Waqf devrait bien se rendre compte qu'aucun de ces deux sites ne porterait préjudice aux mosquées existantes. Ainsi, la reconstruction du Temple serait une occasion unique pour tous les peuples d'honorer le Dieu d'Abraham.

« je les amènerai sur ma sainte montagne, je les comblerai de joie dans ma maison de prières, leurs holocaustes et autres sacrifices seront les bienvenus sur mon autel ; car ma maison sera dénommée ''Maison des prières pour toutes les nations''. » (Isaïe 56 : 7, v. Zadoc Kahn).

Notes :

1° Il n'en demeure pas moins que ces deux chercheurs ont réalisé un travail considérable qui a véritablement fait progresser nos connaissances archéologiques et historiques sur le mont du Temple et la ville de Jérusalem.

2° Ornan, le Jébusite et Aravna désignent la même personne.

3° Si l'unité de mesure utilisée était la coudée royale égyptienne, alors l'aire sacrée devait mesurer : 500 coudées x 0,525 m = 262,5 m de côté.

4° La forteresse Antonia, occupée par les Romains, avait été bâtie par les Hasmonéens.

Cet article a aussi été publié le 10 Mars 2021 sur «Ops & Blogs» du Times of Israel : https://frblogs.timesofisrael.com/ou-etait-situe-le-temple-de-jerusalem/

Avril 2021

Jacquy Mengal

vendredi 2 avril 2021

En route pour la Pentecôte 2021 !

 Décompte de l'Omer du 28 mars jusqu'à la Pentecôte, le dimanche 16 mai.

  • le 28 mars : premier jour de l'Omer

  • le 29 mars : deuxième jour de l'Omer

  • le 30 mars : troisième jour de l'Omer

  • le 31 mars : quatrième jour de l'Omer

  • le 01 avril : cinquième jour de l'Omer

  • (...)

  • le 15 mai : quarante neuvième jour de l'Omer

  • le 16 mai : Shavouot (Pentecôte)

La bénédiction pour le décompte de l'Omer a lieu chaque soir au coucher du soleil. On récite alors :


"Baruch Atah Ado-nai Elo-hai-nu Melech Ha-olam, Asher Kid'shanu B'Mitzvotav V'tzi-Vanu Al Sefirat Ha-Omer."

«Béni sois-tu, Seigneur notre Dieu, Roi de l'Univers, qui nous a sanctifiés par tes commandements et nous a encouragés à compter l'Omer."

Puis on décompte le jour en disant : "Aujourd'hui est un jour de l'Omer (puis deux jours, puis trois jours, etc)."

Le Psaume 67 est également récité tous les jours, car il est composé exactement de 49 mots hébreux qui correspondent aux 49 jours de l'Omer. Ce Psaume est de circonstance puisqu'il évoque les récoltes. Il est tout aussi approprié spirituellement, parce qu'il parle clairement du salut [la moisson des élus] sur toute la terre par Yéchoua.

Psaume 67

« 1 Du répertoire du chef de chorale. Accompagnement sur instruments à cordes. Chant.

2 Ô Dieu, accorde-nous ton appui et bénis-nous ; fais-nous bon accueil. Pause

3 Ainsi l'on saura sur terre, comment tu interviens ; on saura parmi toutes les nations que tu es le Sauveur.

4 Que les peuples te louent, Dieu, que tous les peuples te louent !

5 Que les nations expriment leur joie par des cris, car tu juges les peuples équitablement, et sur la terre tu conduis les nations. Pause

6 Que les peuples te louent, Dieu, que tous les peuples te louent !

7 La terre a donné ses produits ; que Dieu, notre Dieu, nous bénisse !

8 Oui, que Dieu nous bénisse, et que les peuples les plus lointains reconnaissent son autorité ! »

Document traduit et adapté par moi-même du site :

El Shaddai Ministries

1231 Fryar Ave Sumner,

WA 98390

(253) 862‐8010

https://www.esm.us/

Avril 2021

Jacquy Mengal

vendredi 12 mars 2021

Que s'est-il passé à Jérusalem dès l'an 30 ?

Peu de gens savent que le Temple de Jérusalem fut le théâtre d'une série de phénomènes étranges survenus à partir de l'an 30, notamment à l'occasion du service quotidien et lors de chaque fête de Kippour.

Ces phénomènes hors du commun, qui ont débuté une quarantaine d'années avant la destruction du Temple, ont été observés par de nombreux Juifs ayant vécu à cette époque-là. Ensuite, tous ces signes ont été rapportés, puis minutieusement consignés dans les deux versions du Talmud (1) par les rabbins dès le début de notre ère.

Chers lecteurs, si j'ai choisi de publier à nouveau cet article, que j'avais écrit il y a déjà sept ans, c'est parce que ces événements sont autant d'indices révélant que le Seigneur Yéchoua aurait bien été crucifié lors de la Pâque de l'an 30.

D'autre part, tous ces signes nous montrent aussi que le Tout-Puissant ne fait jamais rien sans avertir les hommes.

En effet, tous ces phénomènes qui se sont déroulés pendant 40 ans (2), jusqu'à la destruction du Temple, auraient dû alerter la génération (3) de l'époque sur l'imminence de la catastrophe de l'an 70 et lui faire prendre conscience que quelque chose avait fondamentalement changé sur le plan religieux, depuis cette année 30, lorsque ces prodiges ont débuté.

« Je vous le dis en vérité, cette génération ne passera point, que tout cela n'arrive ». (Matt. 24 : 34, v. L. Segond)

Quels étaient ces signes étranges ?

Voici ce que rapporte le Talmud de Babylone :

« Nos rabbins enseignaient : Au cours des quarante dernières années avant la destruction du Temple le tirage au sort ['Pour le Seigneur'] n'est pas venu dans la main droite, ni le ruban de couleur rouge n'est devenu blanc, et la lumière occidentale (de la Ménorah) n'a plus brillé et les portes du Hekel [du Temple] s'ouvraient d'elles-mêmes, jusqu'à ce que Rabban Yohanan Ben Zakkai les réprimanda, disant : Hekel, Hekel, pourquoi veux tu nous alarmer ? Je sais que tu seras détruit, car Zacharie fils d'Ido avait déjà prophétisé à ton sujet (Zach. 11 : 1) : « dit au Temple : 'Ouvrez vos portes, ô Liban, et que le feu dévore tes cèdres' » (version Soncino, extrait de Yoma 39b. Passage similaire dans le Talmud de Jérusalem).

Ce passage du Talmud nous parle de quatre phénomènes inhabituels, dont les deux premiers avaient lieu à l'occasion de chaque fête des Expiations durant les quarante années qui précédèrent l'an 70. Les deux autres signes concernaient plus précisément le service quotidien du Temple.

1° Le tirage au sort lors du Yom Kippour

La fête des Expiations (Yom Kippour) était un des jours les plus importants de l'année pour la communauté israélite. A cette occasion, de nombreux Juifs venaient de tout le pays et de l'étranger à Jérusalem pour participer à la cérémonie qui était pour la circonstance grandiose et solennelle.

C'était, en effet, lors de cette fête que les péchés du peuple étaient pardonnés par le Seigneur grâce au rituel des sacrifices qui se déroulait au Temple de Jérusalem (voir Lévitique, chapitre 16).

Lors de ce rituel, le Grand prêtre qui, pour la seule fois de l'année, pénétrait dans le saint des saints devait être dans un état de grande pureté (il se préparait tout au long de l'année pour cela. Il se lavait et changeait de vêtements plusieurs fois au cours de cette journée spéciale).

On lui apportait deux boucs identiques qu'il devait tirer au sort pour désigner lequel était « pour le Seigneur » et lequel était « pour Azazel » (4).

Pour ce faire, le Grand prêtre plongeait ses mains dans une boîte pour en retirer les deux lots représentant les deux boucs (5). Soit le lot « pour le Seigneur » et celui « pour Azazel ». Quand le lot « pour le Seigneur », représenté à un certain moment par une pierre blanche, venait dans la main droite, c'était un bon présage, mais si ce lot arrivait dans la main gauche, c'était un mauvais signe.

Avant cette année 30, cette loterie était aléatoire (la pierre blanche tombait aussi bien dans la main droite que dans la gauche). Mais durant les quarante années qui précédèrent la destruction du Temple, la cérémonie ne s'est plus passée comme auparavant.

Chaque fois que le Grand prêtre effectuait le tirage au sort pour départager les boucs, il sortait la pierre noire hors de la boîte dans la main droite (et forcément la pierre blanche dans la main gauche). Cette coïncidence est arrivée chaque année lors de la fête, depuis l'an 30 jusqu'à la disparition du Temple en 70 !

Les Juifs ont remarqué ce phénomène qu'ils ont interprété comme étant de mauvais augure. En effet, c'était le fait de voir arriver la pierre blanche dans la main droite du Grand prêtre qui était considéré comme un bon signe et non l'inverse.

Dans la tradition hébraïque, tout comme ailleurs, la main droite était plus favorable que la main gauche. Voici ce que rapporte l'évangéliste Matthieu :

«31 Quand le Fils de l'homme viendra (…) 33 il placera les moutons à sa droite et les chèvres à sa gauche. 34 Alors le roi dira à ceux qui seront à sa droite : « Venez, vous qui êtes bénis par mon Père, et recevez le Royaume qui a été préparé pour vous depuis la création du monde. (…) 41 Ensuite, le roi dira à ceux qui seront à sa gauche : « Eloignez-vous de moi, vous qui êtes maudits par Dieu ! Allez dans le feu éternel qui a été préparé pour le diable et ses anges ! » (Matt. 25 : 31 à 41).

2° Le ruban de couleur rouge ne devenait pas blanc

Ensuite, lorsque le sort était tiré, on attachait un ruban de couleur rouge aux cornes du bouc « pour Azazel », et on attachait l'autre moitié du tissu à la poignée de la porte du Temple. Au bout d'un certain temps ce morceau de tissu devenait blanc, ou il restait parfois rouge, ce qui n'était pas un bon présage.

Et, après avoir sacrifié le bouc « pour le Seigneur » sur l'autel des holocaustes pour le pardon des péchés, celui « pour Azazel » était envoyé dans le désert de Judée où il était jeté d'un précipice, après que l'on ait confessé sur sa tête les péchés du peuple.

Ainsi, lorsque le morceau de tissu attaché à la porte du Temple devenait blanc, s'était un signe probant que le sacrifice d'expiation avait été accepté par le Seigneur. Or, dès le Jour du Kippour de l'an 30 et pendant quarante ans, le tissu attaché à la porte du Temple est resté rouge et n'est jamais plus devenu blanc ; comme si le sacrifice avait été rejeté par le Seigneur :

« Venez donc, dit le Seigneur, nous allons nous expliquer. Si vos crimes ont la teinte du sang, peuvent-ils devenir blancs comme neige ? S'ils sont rouge vermillon, peuvent-ils prendre la blancheur de la laine ? » (Esaïe 1 : 18).

Ces signes étaient d'autant plus funestes que des phénomènes inverses (et donc de bon augure) se sont passés lors de la prêtrise d'un certain Simon le Juste qui fut Grand prêtre au 3e siècle avant notre ère :

« Nos rabbins enseignaient : Pendant les quarante ans du ministère de Simon le Juste, le lot ['Pour le Seigneur'] est toujours venu dans la main droite. Puis après son ministère, il est venu tantôt dans la main droite, tantôt dans la main gauche. Et [pendant ce même temps] le tissus de couleur pourpre devenait blanc. Mais après, il est devenu parfois blanc ou pas. Pendant ces quarante ans également, la flamme occidentale restait allumée, puis après, elle restait allumée ou s'éteignait. » (Talmud, version Soncino, extrait de Yoma 39a).

3° Les portes du Temple s'ouvraient d'elles-mêmes

Le soir, après le service quotidien au Temple, la grande porte de bronze était soigneusement fermée par les lévites. Mais, pendant les quarante années qui précédèrent la chute du Temple, on la retrouvait grand ouverte chaque matin sans que personne ne soit intervenu la nuit. Ce prodige était d'autant plus invraisemblable que cette porte devait être fermée par plusieurs personnes car elle était très lourde.

Voici ce que rapporte Flavius Josèphe dans son livre :

« 3. [288] (...) et l'on vit la porte du Temple intérieur, tournée vers l'Orient, - bien qu'elle fût en airain et si massive que vingt hommes ne la fermaient pas sans effort au crépuscule, qu'elle fût fixée par des verrous munis de chaînes de fer et par des barres qui s'enfonçaient très profondément dans le seuil formé d'une seule pierre -, s'ouvrir d'elle-même à la sixième heure de la nuit. » (Flavius Josèphe, Guerre des Juifs, Livre VI, chapitre V, extrait).

Si on ne peut expliquer comment cette porte s'ouvrait d'elle-même durant la nuit, nous pouvons cependant interpréter ce signe comme étant l'ouverture symbolique de l'accès vers Dieu pour tous les hommes et plus seulement aux lévites.

4° La lumière principale de la Ménorah qui s'éteint

Le chandelier à sept branches (la Ménorah) se trouvait dans le lieu saint (5) sur le côté sud (Ex. 25 : 31-40 et 26 : 35). Outre sa fonction évidente d'éclairage, il représentait symboliquement les sept Esprits de Dieu et plus tard, les sept Églises (Apoc. 1 : 4, 20).

Au cours du service quotidien dans le Sanctuaire, toutes les mèches du chandelier étaient rallumées le soir avec la flamme de la branche centrale. Cette mèche centrale appelée « la flamme occidentale » était la plus importante des sept, puisque c'est avec cette mèche qu'on rallumait les autres flammes éteintes (Ex. 27 : 21). Elle devait donc rester toujours allumée, même si parfois il arrivait qu'elle s'éteigne par accident.

Mais de nouveau, au cours des quarante années qui précédèrent la disparition du Temple, la « flamme occidentale » s'éteignit d'elle-même durant la nuit, malgré le soin particulier apporté par les lévites pour que cette flamme reste constamment allumée (on y mettait plus d'huile et elle était mieux surveillée).

S'il est difficile d'expliquer ce phénomène, on peut néanmoins en deviner la raison symbolique : il était manifeste que la présence de Dieu avait quitté le lieu saint et que ce signe, comme tous les autres d'ailleurs, aurait dû avertir le Grand prêtre et lui indiquer que quelque chose avait changé depuis l'apparition de ces signes dès l'an 30.

« ... Alors je vis sept lampes d'or. Au milieu d'elles se tenait un être semblable à un homme ; il portait une robe qui lui descendait jusqu'aux pieds et une ceinture d'or autour de la poitrine. » (Apoc. 1 : 12-13).

Le Sanhédrin a changé de place

Un autre événement rapporté dans le Talmud s'est aussi déroulé à partir de l'an 30. Il concernait le lieu où siégeait le Sanhédrin (7).

Jusqu'à cette année 30, le Sanhédrin tenait habituellement ses audiences et ses délibérations dans un local attenant au Temple qu'on appelait « la Chambre des Pierres Taillées ». Or, dès cette année-là (en 30), le Sanhédrin a décidé de quitter ce lieu superbe pour siéger dans un local moins prestigieux situé en dehors du Temple :

« Quarante ans avant la destruction du Temple, le Sanhédrin quitta (le local de la « Chambre des Pierres Taillées ») pour siéger dans la salle du commerce (le « Hanuth »). (Talmud de Babylone, version Soncino, extrait de Shabbat 15a).

« Quarante ans avant que le Temple ne soit détruit, le Sanhédrin l'avait abandonné [le Temple] pour tenir ses séances dans le « Hanuth » (un local public de négoce) ». (Talmud de Babylone, version Soncino, extrait de Abodah Zara 8b).

Pourquoi un tel changement de lieu de réunion et quelle en était la raison ?

Cette fois, c'est dans la Bible que nous allons découvrir un indice inattendu, pour expliquer ce changement de lieu, ainsi que pour l'explication du rideau du Temple qui se déchira.

«A ce moment, le rideau suspendu dans le Temple se déchira depuis le haut jusqu'en bas. La terre trembla, les rochers se fendirent,» (Matt. 27 : 51).

L'évangéliste Matthieu affirme qu'il y eut un tremblement de terre au moment de la mort de notre Seigneur. Il est donc tout à fait possible que le Temple ait subi quelques dommages suite à ce séisme et que le local où se réunissait le Sanhédrin soit devenu de ce fait hors d'usage.

De la même façon, le rideau du Temple aurait très bien pu se déchirer sous l'effet de la secousse sismique qui aurait endommagé le linteau par lequel était attaché le rideau. C'est probablement aussi pour la même raison que la porte de bronze s'ouvrait d'elle-même et que la flamme du chandelier s'éteignait par l'effet d'un courant d'air.

Cet autre événement (du rideau déchiré), qui fut également un signe très symbolique, n'a pas été repris dans le Talmud en raison, probablement, du lien de proximité trop évident avec la mort du Messie, car certains chefs religieux avaient voulu «étouffer l'affaire » à tout prix (Matt. 28 : 11-15).

Conclusion

Mes amis, vous aurez certainement compris que le fait que ces phénomènes hors du commun aient été consignés par écrit par les autorités religieuses juives constitue une preuve évidente de l'authenticité des faits rapportés.

En effet, qu'elle aurait été l'intérêt pour le Judaïsme rabbinique de l'époque de révéler ces événements étranges qui auraient pu indiquer que Yéchoua était bien le Messie annoncé par l’Écriture, puisque la plupart des chefs religieux n'a pas reconnu sa divinité ni son titre de Messie.

Pourtant, tous ces signes auraient dû montrer aux prêtres et au peuple de Jérusalem que quelque chose avait manifestement changé dès cette année 30, notamment dans le rituel du Yom Kippour. Car ils se sont bien rendu compte que ce sacrifice d'expiation annuel n'était plus favorable au Seigneur, puisque tous ces signes, qu'ils ont reconnus comme étant des mauvais présages, ont bien été observés puis notés plus tard dans les deux versions du Talmud.

Ceux qui croient que le Messie annoncé dans l’Écriture est bien Yéchoua, savent que ce rite sacrificiel du Yom Kippour (8), tout comme les autres sacrifices sanglants, n'ont plus de raison d'être, puisque notre Seigneur y a mis fin en les remplaçant par son propre sacrifice lors de la Pâque.

« 12 Quand le Christ est entré une fois pour toutes dans le lieu très saint il n'a pas offert du sang de boucs et de veaux ; il a offert son propre sang et a obtenu pour nous un salut éternel. (...) 28 De même, le Christ aussi a été offert en sacrifice une seule fois pour enlever le péché de beaucoup d'hommes. » (Héb. 9 : 12, 28).

Ainsi, s'il est avéré que Yéchoua a bien été crucifié en l'an 30, cela a forcément dû se passer le mercredi 5 avril, puisque c'était le seul jour qui correspondait à la fois au 14e jour de nisan, jour du sacrifice de la Pâque, à la prophétie des «3 jours et 3 nuits» (Matt. 12 : 40) et à celle de Daniel 9 : 26.

Notes :

1) Le Talmud est un ensemble de livres traitant des traditions juives et du judaïsme qui fut rédigé par les rabbins entre le IIIe siècle et le Ve siècle ap. J.-C. Il y existe deux versions du Talmud, celle de Babylone et celle de Jérusalem qui sont constituées de la même Michna et d'une Guemara différente pour chaque version (la Guemara est un commentaire de la Michna). Quoique le Talmud ne soit pas un livre inspiré par Dieu, il contient cependant des précisions historiques et des détails intéressants concernant les traditions juives.

2) Faut-il rappeler que, dans les Écritures, le nombre 40 symbolise un temps d'attente, de patience et de mise à l'épreuve : (Gen. 7 : 12 et 17 ; Gen. 8 : 6 ; Ex. 24 : 18 ; Deut. 8 : 2 ; I Rois 19 : 8 ; Jonas 3 : 4 et Matt. 4 : 2).

3) Une génération vaut quarante ans (Matt. 24 : 34 et Marc 13 : 30).

4) « Azazel est probablement le nom d'un démon hantant les lieux désertiques », réf. : la Bible en français courant, 1983, page 137.

5) A l'époque du premier Temple, ces lots étaient en bois. Il y était inscrit : « pour le Seigneur » et « pour Azazel ». Ensuite, ils ont été façonnés en or, puis on a utilisé deux cailloux : un blanc qui représentait celui « pour le Seigneur » et un noir « pour Azazel ».

6) A l'époque du roi Salomon, il y avait dix chandeliers qui étaient disposés par groupes de cinq de chaque côté du lieu saint. Ensuite, il ne resta qu'un seul chandelier (I Rois 7 : 49).

7) Le Sanhédrin était à la fois une assemblée législative et le tribunal suprême du peuple juif. Le Grand Sanhédrin siégeant à Jérusalem était composé de 71 anciens, tous versés dans la Loi, alors que le Petit Sanhédrin composé de 23 membres siégeait dans les villes principales où il légiférait en matière de justice.

8) Si le rite sacrificiel tel qu'il se faisait sous la Première alliance ne doit plus être pratiqué, il n'en demeure pas moins que la fête doit toujours être célébrée (voir l'article « Le Jour des Expiations » dans ce blog).

Crédit image : peakpx.com

Mars 2021

Jacquy Mengal