Alors
que le changement climatique global continue de provoquer des dégâts
aux quatre coins de la terre, avec la perspective de catastrophes
pire encore dans le futur ; que des conflits et menaces de
guerres se font écho un peu partout ; que le fossé entre
riches et pauvres ne cesse de se creuser chaque jour davantage en
raison des injustices et des inégalités, voici que la Chine est à
nouveau confrontée à une grave épidémie virale.
Illustration: extrait du tableau "Les Quatre Cavaliers de l'Apocalypse" de Viktor Vasnetsov, 1887, domaine public.
Si
nous savons que cette maladie nommée « coronavirus Covid-19 »
est apparue dans la ville de Wuhan en Chine, en décembre 2019, de
nombreuses personnes infectées se retrouvent à présent sur tous
les continents ! D'où évidemment la crainte d'une pandémie à
l'échelle mondiale.
Certes,
le taux létal (mortalité) de 2 % n'est pas très élevé, mais le
virus est contagieux et il provoque des pneumonies virales graves
qui peuvent être fatales, surtout chez les patients âgés et ceux
fragilisés en raison de leur état de santé précaire.
D'après
les données officielles, 60 000 personnes seraient infectées à ce
jour, et 1 400 d'entre-elles seraient décédées. Cependant, le pic
de l'épidémie ne semble pas encore atteint.
D'où
provient cette maladie ?
Selon
la thèse officielle, la contamination proviendrait d'un virus
transmis à l'homme par un animal, probablement le pangolin, que l'on
retrouve fréquemment vendu sur les marchés chinois, dont celui de
Wuhan.
Mais
certains lanceurs d'alerte affirment qu'il s'agirait plutôt d'un
agent pathogène virulent échappé accidentellement d'un laboratoire
de recherche de niveau 4. Or, la ville de Wuhan possède un tel
laboratoire classé « BSL-4 » (haute dangerosité) !
Il n'en fallait pas plus pour voir apparaître toutes sortes de
rumeurs invérifiables. Ces personnes prétendent également que le
nombre de gens infectés et déjà décédés serait bien supérieur
à celui annoncé par l'O.M.S.
Quoi
qu'il en soit, je pense qu'il ne faut pas céder à la panique, tout
en restant informé de l'évolution de cette épidémie, et prier
pour que le Seigneur protège les siens.
Quand
ce fléau va-t-il s'arrêter ?
Il
est difficile de dire quand s'arrêtera cette épidémie. Si les
autorités chinoises ont mis un certain temps à réagir au début de
la contamination, les mesures de confinement et de quarantaine mises
en place à présent sont tout à fait indiquées pour enrayer la
progression de l'épidémie et tenter d'y mettre fin, en espérant
qu'ils y parviennent !
C'est
du reste cette façon de faire qui était préconisée dans la Bible,
depuis plus de trois mille ans pour la lèpre et tout autre problème
sanitaire contagieux :
« Il
est impur aussi longtemps qu'il est atteint de son mal ; c'est
pourquoi il doit avoir sa demeure à l'écart des autres gens, en
dehors du camp » (Lév. 13 : 46).
Le
quatrième cheval de couleur vert-pâle
Quelques-uns
pensent que cette épidémie annoncerait l'ouverture du 4e Sceau.
C'est étonnant comme la mémoire de certains peut être à ce point
restreinte !
Si
les épidémies font bel et bien partie de l'arsenal du 4e cavalier,
ce Sceau est ouvert depuis bien plus longtemps qu'ils ne l'imaginent,
et il ne représente pas uniquement les pestes (nom générique
désignant les maladies et les épidémies).
Et
contrairement à ce que d'autres affirment, ce 4e Sceau ne représente
pas la montée de l'Islam radical, même si ce cheval est de couleur
verdâtre. Cependant, les conflits, crimes et attentats perpétrés
par les Djihadistes en font bien partie.
La
Bible nous donne une description simple, mais exacte de ce que
représente vraiment ce 4e Sceau :
« Je
regardai et je vis un cheval de couleur verdâtre. Celui qui le
montait se nommait la Mort, et il était suivi par celui qui
représente le monde des morts. On leur donna le pouvoir sur le quart
de la terre, pour faire mourir les hommes par l'épée, par la
famine, par la maladie et par les bêtes sauvages de la terre. »
(Apoc. 6 : 8).
Ce
Sceau représente donc la mort
d'une manière générale, et pas seulement celle due aux épidémies
et aux maladies.
« -
J'ai infligé à Jérusalem les quatre grands fléaux que sont la
guerre, la famine, les bêtes féroces et la peste, de façon à
exterminer les hommes et les bêtes. » (Ezék. 14 : 21).
En
ouvrant un livre d'histoire, vous vous rendrez facilement compte que
ces quatre fléaux que sont la guerre,
la famine, les
bêtes féroces et la
peste sont présents depuis que
le monde existe.
Lorsque
l'apôtre Jean voit ce cheval verdâtre dans sa vision, il ne fait
que mentionner les quatre fléaux majeurs responsables de la mort du
quart de l'humanité, au moins depuis le premier siècle de notre ère jusqu’à nos jours.
Il
est faux de croire que les sept Sceaux de l'Apocalypse ne s'ouvrent
qu'à notre époque moderne. Plusieurs passages dans la Bible nous
enseignent que certains d'entre-eux sont ouverts depuis que Jean a eu
sa vision.
« le
moment fixé pour tous ces événements est proche » (Apoc. 1 :
3). Et un peu plus loin :
« Écris donc ce que tu vois : aussi bien ce qui se passe maintenant que
ce qui doit arriver ensuite. » (Apoc. 1 : 19).
Un
indice mentionné dans ce 4e Sceau nous prouve d'ailleurs qu'il est
ouvert depuis bien plus longtemps qu'à notre seule époque moderne.
Il s'agit de la référence aux bêtes féroces. S'il est vrai que
des animaux sauvages, comme les fauves, les crocodiles, les serpents,
les buffles et autres bêtes tout aussi dangereuses, tuent chaque
année un certain nombre de gens dans le monde, il paraît évident
que l'on pouvait périr bien plus facilement par le passé sous les
crocs et les griffes de ces animaux sauvages qu'aujourd'hui !
Mais
pour ne parler que des épidémies, souvenez-vous de la grippe dite
« espagnole », responsable de la mort d'au moins 50
millions de personnes entre 1918 et 1919. (Quelque 11 millions de
gens avaient déjà péris lors de la Première guerre mondiale).
Puis, les pestes du Moyen Âge dont celle au milieu du XIVe siècle
qui a fait disparaître le tiers de la population européenne. Sans
compter les pestes dites « antonine » et de « Justinien »
à l'époque romaine et byzantine.
Quant
à notre époque moderne, je vous rappelle que les grippes
saisonnières tuent des dizaines de milliers de gens chaque année à
travers le monde, le virus VIH (sida) continue aussi à faire des
victimes. Puis, il y a Ebola en Afrique, la malaria et bien d'autres
maladies qui sévissent partout dans le monde.
En
fait, seule la comptabilité céleste sait ce que représente en
chiffre le quart de l'humanité qui a perdu la vie par ces quatre
fléaux du 4e cavalier, depuis que Jean a eu sa vision.
Février
2020
Jacquy
Mengal
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